28/01/2012 à 18:10
Glorf
Salut à tous,
Bon je reprends la suite de ma présentation, mais ici, car je me suis dit que c'était la meilleure section pour développer ce qui va suivre… (suspens !)
Je m'explique : autodidacte depuis quelques années, mais surtout ces deux dernières années, date de ma première acquisition d'un 450 D, je commence à tatonner, à me perdre, et des fois même, j'ai l'impression de régresser en terme de technique. Est-ce que j'ai pris conscience récemment de nombreuses lacunes, et ce que quelques rencontre avec des professionnels m'ont fait complexer encore plus, je ne sais pas trop, mais toujours est-il que je ressens le besoin de me former pour de bon, et de franchir un cap sur lequel je butte faute de pouvoir suivre des conseils, apprendre de quelqu'un d'autre, ou peut-être, par manque de bon matériel.
Deuxième problème, j'aime voyager, j'en ai quasiment fais mon avenir puisque à cette heure de ma vie, j'ai le choix entre passer les concours du ministère des affaires étrangères pour devenir diplomate (au sens large du terme), ou alors, intégrer l'armée en tant qu'officier sous contrat spécialisé. Dans les deux cas, et même si d'autres possibilités s'offraient à moi, je passerai très probablement une bonne partie de ma vie à voyager.
Vous commencez peut-être à voir où je veux en venir ? En gros, l'idée, c'est que je connais comme tout photographe la frustration, du moment qui nous échappe, de la lumière qui est trop forte, des conditions qui ne sont pas ce que l'on sait gérer, ou qui gâche un paysage, le cadrge râté, bref, toutes ces choses qui font que cet art est passionnant, et difficile à maîtriser. Et de la même façon, les voyages revêtent aussi un aspect frustrant, parce que bien souvent, on ne passe dans un endroit qu'une seule fois, et que les occasions d'y retourner ne se reprétent parfois jamais. Et j'ai beau être jeune, je ne veux pas passer ma vie à être frustrer par l'aspect technique et maîtrise de l'appareil.
Aussi, j'envisage très sérieusement, d'effectuer une formation, si possible d'une année seulement n'ayant pas forcément les moyens de faire plus, qui me permette à partir de là, de pouvoir continuer mon chemin plus sereinement, sans ce regret permanent d'avoir pensé carrière, à un moment ou ce n'est pas une urgence, et après coup, de ne plus avoir la possibilité d'apprendre proprement.
En fait, cette idée s'est récemment formée, et je me suis déjà pas mal documenté. En France, l'essentiel des formations que j'ai vues sont sur deux ans, ce qui peut faire trop, mais en même temps, si j'arrive à me financer à côté, peut me permettre de faire d'autre choses, de mener des projets, et pourquoi pas, de continuer à voyager. Sinon, j'avais dans l'idée de me former à l'étranger, et notamment en Inde, culture riche, paysages magnifiques, beaucoup de paradoxes, beaucoup de couleurs, et puis on a tous en tête les images de ces portraits ou de ces scènes capturées dans la région. Bref, un super terrain d'entraînement, un pays de plus à mon CV, un enrichissement personnel, et un niveau de vie moins élevé qu'en Europe. Et en même temps, j'ai trouvé des formations de trois, six mois ou un an. Seul problème, les prix d'inscription.
Voilà à peu près ou j'en suis de ma réflexion. J'ai aussi entamé une démarche d'éducation personnelle par l'image et la culture, et en tant que diplomate(actuellement en stage au sultanat d'Oman), je vois certains aspects des pays que je visite sur lesquels de simples touristes n'auraient pas l'occasion d'ouvrir les yeux, aussi observateurs soient-ils. Et j'essaie d'intégrer cette dimension dans mon travail photographique. Et puis j'aime également cet idéal des grands hommes du passé qui maîtrisaient plusieurs arts, sciences et autres connaissances. Si je pouvais trouver un moyen de suivre leur exemple, et de concilier ma passion pour les relations internationales, pour la photographie, et la découverte, et aussi le témoignage, je pense que j'aurai au moins réussi cette partie là de ma vie.
Bon, après vous avoir bien noyé sous mes état d'âmes, j'aimerai connaître l'avis que vous inspire ma petite histoire, ce que vous pouvez me conseiller, si vous pensez que je fais fausse route, si vous avez été ou avez connu des gens dans la même situation. Bref, si mon cas vous inspire quoi que ce soit, je saurais me montrer curieux et attentif !
Bon je reprends la suite de ma présentation, mais ici, car je me suis dit que c'était la meilleure section pour développer ce qui va suivre… (suspens !)
Je m'explique : autodidacte depuis quelques années, mais surtout ces deux dernières années, date de ma première acquisition d'un 450 D, je commence à tatonner, à me perdre, et des fois même, j'ai l'impression de régresser en terme de technique. Est-ce que j'ai pris conscience récemment de nombreuses lacunes, et ce que quelques rencontre avec des professionnels m'ont fait complexer encore plus, je ne sais pas trop, mais toujours est-il que je ressens le besoin de me former pour de bon, et de franchir un cap sur lequel je butte faute de pouvoir suivre des conseils, apprendre de quelqu'un d'autre, ou peut-être, par manque de bon matériel.
Deuxième problème, j'aime voyager, j'en ai quasiment fais mon avenir puisque à cette heure de ma vie, j'ai le choix entre passer les concours du ministère des affaires étrangères pour devenir diplomate (au sens large du terme), ou alors, intégrer l'armée en tant qu'officier sous contrat spécialisé. Dans les deux cas, et même si d'autres possibilités s'offraient à moi, je passerai très probablement une bonne partie de ma vie à voyager.
Vous commencez peut-être à voir où je veux en venir ? En gros, l'idée, c'est que je connais comme tout photographe la frustration, du moment qui nous échappe, de la lumière qui est trop forte, des conditions qui ne sont pas ce que l'on sait gérer, ou qui gâche un paysage, le cadrge râté, bref, toutes ces choses qui font que cet art est passionnant, et difficile à maîtriser. Et de la même façon, les voyages revêtent aussi un aspect frustrant, parce que bien souvent, on ne passe dans un endroit qu'une seule fois, et que les occasions d'y retourner ne se reprétent parfois jamais. Et j'ai beau être jeune, je ne veux pas passer ma vie à être frustrer par l'aspect technique et maîtrise de l'appareil.
Aussi, j'envisage très sérieusement, d'effectuer une formation, si possible d'une année seulement n'ayant pas forcément les moyens de faire plus, qui me permette à partir de là, de pouvoir continuer mon chemin plus sereinement, sans ce regret permanent d'avoir pensé carrière, à un moment ou ce n'est pas une urgence, et après coup, de ne plus avoir la possibilité d'apprendre proprement.
En fait, cette idée s'est récemment formée, et je me suis déjà pas mal documenté. En France, l'essentiel des formations que j'ai vues sont sur deux ans, ce qui peut faire trop, mais en même temps, si j'arrive à me financer à côté, peut me permettre de faire d'autre choses, de mener des projets, et pourquoi pas, de continuer à voyager. Sinon, j'avais dans l'idée de me former à l'étranger, et notamment en Inde, culture riche, paysages magnifiques, beaucoup de paradoxes, beaucoup de couleurs, et puis on a tous en tête les images de ces portraits ou de ces scènes capturées dans la région. Bref, un super terrain d'entraînement, un pays de plus à mon CV, un enrichissement personnel, et un niveau de vie moins élevé qu'en Europe. Et en même temps, j'ai trouvé des formations de trois, six mois ou un an. Seul problème, les prix d'inscription.
Voilà à peu près ou j'en suis de ma réflexion. J'ai aussi entamé une démarche d'éducation personnelle par l'image et la culture, et en tant que diplomate(actuellement en stage au sultanat d'Oman), je vois certains aspects des pays que je visite sur lesquels de simples touristes n'auraient pas l'occasion d'ouvrir les yeux, aussi observateurs soient-ils. Et j'essaie d'intégrer cette dimension dans mon travail photographique. Et puis j'aime également cet idéal des grands hommes du passé qui maîtrisaient plusieurs arts, sciences et autres connaissances. Si je pouvais trouver un moyen de suivre leur exemple, et de concilier ma passion pour les relations internationales, pour la photographie, et la découverte, et aussi le témoignage, je pense que j'aurai au moins réussi cette partie là de ma vie.
Bon, après vous avoir bien noyé sous mes état d'âmes, j'aimerai connaître l'avis que vous inspire ma petite histoire, ce que vous pouvez me conseiller, si vous pensez que je fais fausse route, si vous avez été ou avez connu des gens dans la même situation. Bref, si mon cas vous inspire quoi que ce soit, je saurais me montrer curieux et attentif !