17/12/2016 à 20:50
cocagne
Encore un Nanard me direz vous ?
Surement et même probablement !
Cocagne va finir par avoir plus de boitiers photo dans son placard que de photo dans ses classeurs !
Quand même pas mais comme on changeait de film pour changer de rendu je reste curieux des caractéristiques propres aux capteurs il est vrai indissociables des logiciels avec lesquels on les marie. Le Foveon seconde géneration de Sigma que j'utilise parfois en extérieur en est la preuve.
Le temps passe si vite que même le numérique devient déjà ancien et qu'on s'aperçoit que certains des appareils qui marquèrent une époque sont passé à l'histoire de la photo.
C'est le tout début de la photo numérique elle a passé le stade des prototypes pour devenir industrielle quoique limitée par des couts de productions qui font frémir de peur les porte monnaies des acheteurs
Fuji est un des rares à développer ses propres capteurs mais il avait dans les vingt précédentes années raté la phase des autofocus encensée par les amateurs qui purent enfin avoir des photos nettes sans chercher à savoir comment. Il n'avait donc pas de boitier, parmi tous les acteurs qui virent Epson Kodak Nikon et Canon mélanger leurs technologies une association est vraiment passée au grand public, ce fut celle de Nikon pour les boitiers et leurs montures avec Fuji pour les capteurs; on parle d'une époque ou un capteur de 2 Mpx était une révolution.
LE S5pro est donc un boitier construit sur la base du Nikon D200 équipé d'un capteur spécifique à Fuji à la technologie originale. Si elle a un peu évoluée depuis elle est à l'origine de celle des derniers hybrides, elle consiste grosso moi à grouper les photosites par deux mais deux différents : un gros et un petit L'un est destiné à recevoir toutes les informations et le second seulement les plus lumineuses ( d'après ce que j'ai compris ils ont deux sensibilités initiales différentes. En somme quand le premier est plein le second plus petit récupère ce qui déborde) la disposition des filtres couleurs est elle aussi différente du système de Bayer actuellement dominant mais c'est assez secondaire si ce n'est que cela fait longtemps que Fuji se dispense ainsi d'un filtre anti-moiré.
L'idée à l'époque était donc d'en utiliser un pour les basses lumières et l'autre pour les hautes, depuis les autres capteurs ont beaucoup progressé en dynamique mais longtemps ces Super CCD furent la référence dans ce domaine et celui du bruit et c'est de ces deux points qu'ils tenaient leur réputation comme appareil de mariage et de plongeurs sous-marins. Avant 2010 monter à 1600 iso sans trop de dégats était un exploit.
Fuji avec cette techno a trouvé sa voie. Celle des fichiers Jpegs parfaits c'est avec ce savoir faire qu'ils sont revenus par le biais de leurs magnifiques hybrides dans le monde de la photographie au point de voir des professionnels franchir le pas du viseur électronique pour pouvoir bénéficier de leur fameux rendu.
Quelques liens
http://photoetmac.com/2007/05/toute_la_vrit_s/
https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.kenrockwell.com/fuji/s5.htm&prev=search
http://www.chassimages.com/forum/index.php/topic,248382.0.html
Et puis je garde encore de bons souvenirs de mon Bridge Fuji S100 fs avec la même technologie et évidemment les listes propres à ce système, on st nombreux à être passé par cette étape du bridge qualitatif avant de se résoudre à venir vers le reflex d'ailleurs je note que c'est mon premier reflex à capteur format Apsc
Surement et même probablement !
Cocagne va finir par avoir plus de boitiers photo dans son placard que de photo dans ses classeurs !
Quand même pas mais comme on changeait de film pour changer de rendu je reste curieux des caractéristiques propres aux capteurs il est vrai indissociables des logiciels avec lesquels on les marie. Le Foveon seconde géneration de Sigma que j'utilise parfois en extérieur en est la preuve.
Le temps passe si vite que même le numérique devient déjà ancien et qu'on s'aperçoit que certains des appareils qui marquèrent une époque sont passé à l'histoire de la photo.
- Pour les petits nouveaux un bref rappel
C'est le tout début de la photo numérique elle a passé le stade des prototypes pour devenir industrielle quoique limitée par des couts de productions qui font frémir de peur les porte monnaies des acheteurs
Fuji est un des rares à développer ses propres capteurs mais il avait dans les vingt précédentes années raté la phase des autofocus encensée par les amateurs qui purent enfin avoir des photos nettes sans chercher à savoir comment. Il n'avait donc pas de boitier, parmi tous les acteurs qui virent Epson Kodak Nikon et Canon mélanger leurs technologies une association est vraiment passée au grand public, ce fut celle de Nikon pour les boitiers et leurs montures avec Fuji pour les capteurs; on parle d'une époque ou un capteur de 2 Mpx était une révolution.
LE S5pro est donc un boitier construit sur la base du Nikon D200 équipé d'un capteur spécifique à Fuji à la technologie originale. Si elle a un peu évoluée depuis elle est à l'origine de celle des derniers hybrides, elle consiste grosso moi à grouper les photosites par deux mais deux différents : un gros et un petit L'un est destiné à recevoir toutes les informations et le second seulement les plus lumineuses ( d'après ce que j'ai compris ils ont deux sensibilités initiales différentes. En somme quand le premier est plein le second plus petit récupère ce qui déborde) la disposition des filtres couleurs est elle aussi différente du système de Bayer actuellement dominant mais c'est assez secondaire si ce n'est que cela fait longtemps que Fuji se dispense ainsi d'un filtre anti-moiré.
L'idée à l'époque était donc d'en utiliser un pour les basses lumières et l'autre pour les hautes, depuis les autres capteurs ont beaucoup progressé en dynamique mais longtemps ces Super CCD furent la référence dans ce domaine et celui du bruit et c'est de ces deux points qu'ils tenaient leur réputation comme appareil de mariage et de plongeurs sous-marins. Avant 2010 monter à 1600 iso sans trop de dégats était un exploit.
Fuji avec cette techno a trouvé sa voie. Celle des fichiers Jpegs parfaits c'est avec ce savoir faire qu'ils sont revenus par le biais de leurs magnifiques hybrides dans le monde de la photographie au point de voir des professionnels franchir le pas du viseur électronique pour pouvoir bénéficier de leur fameux rendu.
Quelques liens
http://photoetmac.com/2007/05/toute_la_vrit_s/
https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.kenrockwell.com/fuji/s5.htm&prev=search
http://www.chassimages.com/forum/index.php/topic,248382.0.html
Et puis je garde encore de bons souvenirs de mon Bridge Fuji S100 fs avec la même technologie et évidemment les listes propres à ce système, on st nombreux à être passé par cette étape du bridge qualitatif avant de se résoudre à venir vers le reflex d'ailleurs je note que c'est mon premier reflex à capteur format Apsc