07/01/2017 à 16:52
MGI a écrit :
C'est de l'actualité du siècle dernier bien qu'il existe encore et heureusement des photographes qui revendiquent cette appellation pas du tout péjorative ;)
Le livre suivant, édité par la BNF et emprunté tout à l'heure à la médiathèque est une référence :
Des noms inconnus ou oubliés comme…
Janine Niépce,
http://www.janineniepce.com/
Prénom inconnu (du moins de moi) mais l'aïeul si bien sûr :-y
07/01/2017 à 17:20
C'est bon ca…Merci @MGI… :-y
08/01/2017 à 14:48
Les médiathèques remontent dans mon estime !
08/01/2017 à 18:52
MGI a écrit :
C'est de l'actualité du siècle dernier bien qu'il existe encore et heureusement des photographes qui revendiquent cette appellation pas du tout péjorative ;)
Le livre suivant, édité par la BNF et emprunté tout à l'heure à la médiathèque est une référence :
Des noms inconnus ou oubliés comme Jean-Marie Auradon,
http://data.bnf.fr/14967665/jean-marie_auradon/
Janine Niépce,
http://www.janineniepce.com/
Georges Dudognon
http://www.georges-dudognon.com/about
et plein d'autres avec des photos qui me donnent envie d'acheter ce livre :D
Merci @MGI ! ;)
J'ai regardé en vitesse les liens que tu donnes.
Je vais prendre le temps de les regarder avec plus d'attention, ça le mérite grandement ! :-y
12/01/2017 à 13:19
Je reviens sur cet ouvrage que je suis en train de lire très attentivement et, sans doute à cause de sa qualité, il est difficile à trouver d'occasion, même à des prix de voleurs !
Parmi les préfaces, celle de Peter Hamilton qui dit notamment :
" Doisneau témoigne que Brassaï, avec son Paris de nuit lui a appris à regarder les pavés "
Ce qui va quand même à l'encontre de l'idée d'un style français correspondant au regard "naturel" de photographes autochtones ;)
Il parle bien de la "folle soif d'images" d'après guerre et du rôle de la presse étrangère qui avait les moyens financiers, y compris de rémunérer des français comme Cartier-Bresson.
Parmi les photographes étrangers à Paris, Nico Jesse (Pays-Bas) qui, dans son Visages de Paris, préfacé par Cocteau (quand même), donne à voir des séries de personnages la baguette sous le bras, ainsi que des scènes des Halles et du Marché aux Puces, sujets iconographiques "typiquement français"…etc
Je vous invite donc à lire ce petit livre de qualité d'impression très ordinaire, pas relié ni broché, mais à conserver pour qui aime l'histoire de la photographie :D
14/01/2017 à 12:52
Aucun doute, c'est bien ça et la photo de couverture est celle ci :
Photo d'Edith Gérin (1948), une des rares femmes jamais passée professionnelle mais soutenue par eux, Albert Plecy l'a présentée 12 fois dans son "Salon permanent".
Elle utilisait un appareil 6, 5 X 11 datant des années 1920 muni d'un filtre jaune afin d'accentuer le "côté mystérieux et inhabituel" de ses photographies !
Pas moyen de trouver des précisions sur cet appareil bizarre, il faudra que j'aille fouiller à la BNF ;)
16/01/2017 à 07:50
Parmi les nombreuses photos de ce livre, en voici une parmi mes préférées depuis longtemps car elle me rappelle le souvenir du fameux hiver 1954 particulièrement rigoureux !
J'avais l'âge d'un de ces pauvres gosses mais ne vous dirait pas lequel :
Si cette photo était montrée aujourd'hui sans explication, l'auteur se verrait critiqué pour mille raisons, mais c'est bien ce que je voudrais imiter en argentique : l'essentiel :-t
16/01/2017 à 13:21
L'hiver 54/55… On venait de débarquer en France passablement cabossés et en la remerciant sincèrement…
Je me souviens de cette capeline et surtout, à l'école, du verre de lait chaud posé sur l'ardoise elle même posée toute tiède sur les genoux, c'était une idée de Pierre Mendes France m'avait expliqué mon père, un grand homme et un grand résistant avait rajouté ma mère.
16/01/2017 à 13:22
L'hiver 54/55… On venait de débarquer en France passablement cabossés et en la remerciant sincèrement…
Je me souviens de cette capeline et surtout, à l'école, du verre de lait chaud posé sur l'ardoise elle même posée toute tiède sur les genoux, c'était une idée de Pierre Mendes France m'avait expliqué mon père, un grand homme et un grand résistant avait rajouté ma mère.
