08/09/2016 à 10:02
J'ai encore vécu un grand moment de culture ce matin mais, accrochez vous, c'est du lourd :
Le saxophoniste Charlie Parker était surnommé "bird" donc l'oiseau mais, dans le cas présent, ça ne vole pas haut :
Qui servent à l'occasion de poubelles :
Imaginez comme au temps des égyptiens ces blocs transportés par barques du Canal de Bourgogne, sans doute pour le premier projet de la pyramide du Louvre !
Ne sachant qu'en faire, un neveu d'Obélix est venu les poser là avec ses copains histoire de festoyer à Lutèce :D
Ce n'est plus du saxo mais pas vraiment du pipeau bien que je ne comprenne rien à l'art contemporain…
08/09/2016 à 11:02
Ah oui c'est du lourd !
Mais bon ça m'étonne plus… depuis Duchamp c'est plus l’œuvre qui compte mais l'intention de l'artiste autour d'un intellectualisme projeté sur l’œuvre (suis-je clair :D)
Alors ça donne des blocs posés là (par Obélix :D) non pas pour rendre hommage, non même si c'est le discours officiel, c'est pour déstructurer et s'approprier un nom d'un artiste au sens noble du terme, ici Charlie Parker pour en faire un projet d'un artiste contemporain/d'une commande officiel et y mettre son empreinte. La taille des blocs n'est pas un hasard puisque ici intervient la mégalomanie artiste/état qui veulent "écraser" au sens artistique avec leurs visions de cerveaux malade…
08/09/2016 à 11:44
La vache, c'est effectivement du lourd !
Le genre d'oeuvre répondant parfaitement à la définition de l'art moderne "foutaise" : quand il faut plus de temps à l'artiste pour expliquer ses intentions et le concept de son oeuvre que pour la réaliser…
Parce que des blocs de "pierre de Bourgogne" comme ça, ça se trouve à la pelle (enfin, au bulldozer;)) dans les carrières entre Nuits St Georges et Beaune (Comblanchien, pour être précis…). Et il suffit de les secouer un peu puis de les empiler pour fabriquer cette "oeuvre"
C'est où, au fait, précisément, cette horreur ?
08/09/2016 à 15:59
@ Philippe_92 : cette horreur se trouve sur l'avenue de France, artère crée dans le nouveau treizième, juste un peu plus loin que les espèces de cailloux synthétiques perchés sur des grands bâtons de sucettes !
j'ai aussi montré que sur ladite avenue, les grues se reproduisent in vitro et, dès l'âge adulte, font la causette par paire tous les Dimanches, jour où l'endroit est presque aussi triste et désert que la rue de l'Université (75007) si vous connaissez :(