05/12/2012 à 09:41
LSH
Ma visite de lyon confluence l'autre jour m'as fait tomber sur un endroit dont j'avais entendu parlé, pas forcément sur Lyon, " le Pont des Amours Scellés ".
Depuis quelques temps, des « cadenas d’amour » fleurissent sur la passerelle qui enjambe la darse du nouveau quartier lyonnais de la Confluence
Cette tradition des cadenas d’amour, qui consiste à matérialiser une relation avec un cadenas sur lequel les amoureux gravent leurs initiales avant de l’accrocher à un grillage est née dans les années 80 en Hongrie. En France, elle s’est développée à Paris sur le Pont des Arts, avant de gagner les garde-fous de la passerelle Léopold-Sédar-Senghor, puis le pont de l’Evêché. Si les ouvrages parisiens sont affublés de milliers de cadenas, la passerelle de la Confluence n’en est pour l’instant affublée que de quelques dizaines, mais c’est là une preuve que ce quartier flambant neuf commence à être investi par les Lyonnais. Les premiers cadenas remonteraient à 2009.
Reste maintenant à savoir si comme à Paris, où le grillage du Pont des Arts a été mystérieusement délesté de ces cadenas d’amour une nuit avant d’être purement et simplement découpé, la passerelle de la Confluence sera victime de vandalisme, ou si comme à Rome la municipalité interdira la pose de ces cadenas.
Pour le moment laissons la place aux amours secrets…
Merci de votre passage
Depuis quelques temps, des « cadenas d’amour » fleurissent sur la passerelle qui enjambe la darse du nouveau quartier lyonnais de la Confluence
Cette tradition des cadenas d’amour, qui consiste à matérialiser une relation avec un cadenas sur lequel les amoureux gravent leurs initiales avant de l’accrocher à un grillage est née dans les années 80 en Hongrie. En France, elle s’est développée à Paris sur le Pont des Arts, avant de gagner les garde-fous de la passerelle Léopold-Sédar-Senghor, puis le pont de l’Evêché. Si les ouvrages parisiens sont affublés de milliers de cadenas, la passerelle de la Confluence n’en est pour l’instant affublée que de quelques dizaines, mais c’est là une preuve que ce quartier flambant neuf commence à être investi par les Lyonnais. Les premiers cadenas remonteraient à 2009.
Reste maintenant à savoir si comme à Paris, où le grillage du Pont des Arts a été mystérieusement délesté de ces cadenas d’amour une nuit avant d’être purement et simplement découpé, la passerelle de la Confluence sera victime de vandalisme, ou si comme à Rome la municipalité interdira la pose de ces cadenas.
Pour le moment laissons la place aux amours secrets…
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