2018 Semaine 18 du 30/04/2018 au 06/05/2018 : les artistes de rue, mieux vaut une belle archive que rien…

A LIRE AVANT DE PARTICIPER :

Le sujet commun de la semaine, c'est quoi ?
C'est un jeu en forme de mini défi avec une nouveau thème proposé chaque semaine et ceci avec trois semaines d'avance pour que la plupart aient le temps de s'y préparer et d'y participer.
C'est aussi une émulation pour chacun d'entre nous, une façon de découvrir et de partager de nouvelles pratiques ou techniques photographiques, qui sans la présence de ce jeu lui seraient restées inconnues.
Les sujets sont variés et donc, s'il vous arrive de ne pas pouvoir participer à l'un, le suivant sera certainement pour vous, exemple :
Semaine 1 "animaux de la ferme", vous vous dites : zut j'habite en ville je suis coincé ! patience… semaine 2 "ombres en architecture" Vous voyez, on pense à tout ! (enfin, on essaye)

NB : j'accepte avec plaisir les propositions de thème

Important :
- Chaque photo doit être accompagnée de ses exifs, pas pour vous embêter, mais pour aider ceux qui voudront le faire à mieux interpréter votre travail.
- d'un petit mot d'introduction pour expliquer vos choix de prise de vue.
- un petit mot pour la photo des collègues ( ça mange pas de pain et on a pas l'impression d'avoir pris une photo pour rien ).
- la participation est limitée à 7 images ( pour donner la possibilité à ceux qui veulent commenter de le faire sans poser de RTT ) mais vous pouvez vous limiter à une pour la 'chiader'.
- vous êtes invité à commenter les photos de vos petits camarades, JE N'ACCEPTERAI PAS que l'on dérive dans les querelles de personnes et les combats d'ego. La qualité de vos œuvres et vos opinions sont subjectives. Nul n'est un maître, et ne vous jetez pas à la tête les expos que vous avez faites ou les maîtres que vous connaissez personnellement, on est ici entre copains pour partager nos photos, se partager des idées et techniques et des moments agréables, point barre.
Une dernière chose : l'idée est d'avoir des photos très récentes, voire faites pour le SCS, mais les photos "d'archive" sont les bienvenues, si l'envie de participer vous brûle les entrailles, on ne vous tiendra pas rigueur de glisser une ou plusieurs archives (nous sommes sur un site de partage ne l'oublions pas ).

En résumé, on essaie donc de revenir aux idées d'origine, mais si vous publiez une photo de vacance d'il y a 4 ans, si elle n'est pas hors sujet, ça sera quand même accepté, mais essayez de rester dans l'esprit d'origine. Je sais, c'est facile pour moi, retraité et un peu coincé dans mon studio, mais il faut bien donner une règle du jeu…

bjousse (Bernard)

PS : j'introduis un nouveau jeu qui reviendra de temps à autre : où est la/le : chaque photo devra comporter l'objet en question, de préférence de manière incongrue, mais avec une mise en scène (et toujours un problème technique à résoudre, si possible)



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2018 Semaine 18 du 30/04/2018 au 06/05/2018 : les artistes de rue, mieux vaut une belle archive que rien…
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Sujet semaine 19 : la foule (les personnes habitant une ville de moins de 10000 habitants peuvent considérer que la foule commence à 20 personnes :D)
Sujet semaine 20 : le rouge(la couleur, pas le gros rouge qui tâche)
Sujet semaine 21 : les reflets, dans un miroir, sur une façade d'immeuble, dans l'eau. Faites attention à ce que votre sujet pense avant de réfléchir

a défaut d'artistes de rue, vous aurez des images d'archives d'artistes des champs. Cela se passait à Tintagel, chez nos voisins Grands Bretons

Bonjour les PP,

une petite archive prise aux Abbesses. Une prof de tango et un de ses élèves qui faisaient la manche.

Bernard

C'est vrai que l'Espagne c'est plus coloré que les grands bretons

Bonjour

petite participation



 

Bonjour les amis des artistes,

Je vous propose 4 images, les 2 dernières ayant été réalisées hier, près de chez le patron

Bonsoir a tous
Alors comme a la campagne les artistes de rue, comme on dit ça ne court pas les champs, voici donc une …

Bonne soirée a tous

Bonjour à toutes et tous ! Une archive pour moi, de… 2009 ! pas très frais, mais le carnaval de Venise est intemporel :)

Bonne journée !

Ce n'est pas encore la saison pour les spectacles de rue ! Vous aurez donc droit à 3 photos de vacances.

Ca n'est pas dans mes habitudes (quoique…) mais là, je lâche les 6 images qui me restent pour un lieu que j'adore : le 104 à Paris

les photos ne sont pas vraiment du frais dans la mesure où je ne les ai pas faites pour le SCS, mais c'est pas vraiment de l'archive, vu que ça date du mois de mars 2018…

Je ne connais pas le nom de  cette discipline que j'illustre ici, mais mes photos montrent ce qu'est le 104, un lieu ou tous s’entraînent en se respectant.

J'ai été bluffé par la femme en fauteuil que l'on voit sur les photos : des amis ( ?) l’emmènent ici, la mettent dans un endroit avec visibilité, tout le monde la respecte, unlieu fantastique

je pense que cela pourrait faire partie d'un des objectifs de balade que j'ai proposés : c'est bien, pas loin de chez moi, et je peux m'asseoir pendant que vous continuez à photographier

ceci dit, on  y va pour les photos

tout d'abord, un aficionado de la discipline, que j'ai essuyé de bien encadrer avec d'autres activités :









et maintenant, la femme qui vient s’entraîner avec sa fille, la transmission dans toute sa splendeur

Bonjour les amis,
Le CentQuatre est un lieu où je passe régulièrement, il y a souvent du nouveau, ça bouge tout le temps, c'est vivant !

(c'est bien le moins d'être vivant maintenant, vu que c'est l'ancienne morgue de Paris)

Pour ma part, c'est à nouveau du côté du CNAC que j'ai fait cette vue.
J'y ai consacré plus d'attention que l'artiste lui-même : son choix d'emplacement faisait que chaque bulle allait exploser en fin de course juste au-dessus du banc où se reposaient un groupe de SDF…

@booHguy

ta référence à la morgue m'a surpris, car j'étais persuadé que la morgue avait toujours été ou presque quai de la râpée.

En fait le 104 rue d'Aubervilliers avait un rôle encore plus grandiose : (extrait de wikipédia)

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Pendant plus de 120 ans, le bâtiment servit à l'activité des pompes funèbres de Paris. Plus de mille personnes y travaillaient, organisant 150 convois mortuaires quotidiens. La première halle, rue d'Aubervilliers, servait à la préparation des cercueils et à la réalisation des catafalques. La seconde halle, rue de Curial, abritait 80 corbillards et une centaine de chars au rez-de-chaussée et 18 écuries en sous-sol abritant 300 chevaux. On y trouvait également la réserve de cercueils, plus de 6000, des greniers à fourrage et un réservoir de 50 000 litres d'eau.

Les halles abritaient également une douzaine de magasins proposant toute sorte d'ornements funéraires et des ateliers de menuiserie, de tapisserie, de peinture ou d'armoirerie  (par exemple jusqu'au début des années 1980, les pompes funèbres installaient un catafalque à l'entrée des immeubles où venait de mourir une personne).

En 1905, après la séparation des Églises et de l'État, les Pompes funèbres deviennent municipales.

Au cours du XXe siècle, le bâtiment connait son activité maximale. 1400 personnes y travaillent, presque exclusivement du personnel masculin (seulement une quarantaine de femmes).
Après la Seconde Guerre mondiale, les pompes funèbres se motorisent, la halle Curial devenant un immense garage accueillant 150 fourgonnettes et 92 berlines, toutes des corbillards, avec ses ateliers et mécaniciens.

Le bâtiment n'avait pas de morgue et ne servait pas à l'accueil des corps des défunts à l'exception des périodes de guerre. En effet, pendant la Seconde Guerre mondiale, la guerre d'Indochine et la guerre d'Algérie, à la demande des pouvoirs publics, le bâtiment accueillit les corps rapatriés pour être présentés aux familles.

En mai 1968, les pompes funèbres ne firent pas grève mais fonctionnèrent en autogestion pendant un mois.
Après la fin du monopole municipal en 1993, l'activité a décliné pour disparaître en 1997.


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Bernard
 

@booHguy

ta référence à la morgue m'a surpris, car j'étais persuadé que la morgue avait toujours été ou presque quai de la râpée.

En fait le 104 rue d'Aubervilliers avait un rôle encore plus grandiose : (extrait de wikipédia)

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Pendant plus de 120 ans, le bâtiment servit à l'activité des pompes funèbres de Paris. Plus de mille personnes y travaillaient, organisant 150 convois mortuaires quotidiens. La première halle, rue d'Aubervilliers, servait à la préparation des cercueils et à la réalisation des catafalques. La seconde halle, rue de Curial, abritait 80 corbillards et une centaine de chars au rez-de-chaussée et 18 écuries en sous-sol abritant 300 chevaux. On y trouvait également la réserve de cercueils, plus de 6000, des greniers à fourrage et un réservoir de 50 000 litres d'eau.

Les halles abritaient également une douzaine de magasins proposant toute sorte d'ornements funéraires et des ateliers de menuiserie, de tapisserie, de peinture ou d'armoirerie  (par exemple jusqu'au début des années 1980, les pompes funèbres installaient un catafalque à l'entrée des immeubles où venait de mourir une personne).

En 1905, après la séparation des Églises et de l'État, les Pompes funèbres deviennent municipales.

Au cours du XXe siècle, le bâtiment connait son activité maximale. 1400 personnes y travaillent, presque exclusivement du personnel masculin (seulement une quarantaine de femmes).
Après la Seconde Guerre mondiale, les pompes funèbres se motorisent, la halle Curial devenant un immense garage accueillant 150 fourgonnettes et 92 berlines, toutes des corbillards, avec ses ateliers et mécaniciens.

Le bâtiment n'avait pas de morgue et ne servait pas à l'accueil des corps des défunts à l'exception des périodes de guerre. En effet, pendant la Seconde Guerre mondiale, la guerre d'Indochine et la guerre d'Algérie, à la demande des pouvoirs publics, le bâtiment accueillit les corps rapatriés pour être présentés aux familles.

En mai 1968, les pompes funèbres ne firent pas grève mais fonctionnèrent en autogestion pendant un mois.
Après la fin du monopole municipal en 1993, l'activité a décliné pour disparaître en 1997.


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Bernard
 

il nous a enthousiasmés, il y a quelques années…
photo difficile à prendre car du monde et des terrasses devant, un ravalement de façade derrière, et une dame (qui accompagnait l'artiste) qui ne cessait de bouger…
c'est ma fille qui a réussi cette prise (elle avait 9 ans)
je me suis toujours demandé si cet homme était obligé de "se vendre"ainsi pour survivre à son âge, quelquechose de triste et d'incongru émanait de la situation, avec cette femme qui veillait sur lui d'un air austère… son talent de musicien était là en tout cas.

C'est sur que la retraite de musicien de rue ne doit pas être terrible… C'est peut-être aussi quelqu'un qui pour rien au monde n'aurait voulu faire un autre boulot.

Allez, une petite dernière pour la route…
Le sculpteur de sable du Remblai, aux Sables d'Olonne
On peut dire que c'est un artiste de rue, puisqu'il prend toujours grand soin de réaliser ses oeuvres juste sous le parapet, afin que les gens (de la rue) séduits par ses sculptures puissent jeter quelque pièce dans le seau de sable qui fait partie de l'ensemble

Bonjour les PP


merci aux participants, avec, par ordre d'apparition des images à l'écran :
@trophy
@Chris57





mes coups de coeur :
@trophy pour tintagel4
@Chris57  pour l'a
 

Bonjour les PP


merci aux participants, avec, par ordre d'apparition des images à l'écran :
@trophy
@Chris57
@booHguy
@Gogi
@Liraco
@Giemme
@Rebekaa





mes coups de coeur :
@trophy pour tintagel4
@Chris57  pour l'artiste à l'oeuvre
@booHguy pour Marché conclu au Sacré-Cœur
@Giemme  pour Les motards de St Sebastian, joli travail d'opposition couleur / N&B
 

Yep. Une photo qui date un peu. L'artiste des rues…
Pied de nez et trompettes by Jean-Christophe Jacques, sur Flickr
_MG_4622Wint by Jean-Christophe Jacques, sur Flickr