09/05/2013 à 16:57
C'est fou comme avec la "crise" (je me refuse obstinément à mettre une majuscule à ce mot) peut avoir comme conséquences diverses z'et variées.
Les officines d'interim par exemple, j'en ai vu plusieurs ce matin dont les locaux étaient à vendre ou à louer mais mon propos n'est pas là.
Ce qui m'a fait déclencher c'est cette même couleur rouge qui ornait devanture et "voiture pour deux" mais, comme j'aime le noir et blanc…
13/05/2013 à 09:53
Ijika a écrit :
Ce qui m'a fait déclencher c'est cette même couleur rouge qui ornait devanture et "voiture pour deux" mais, comme j'aime le noir et blanc…
J'ai pas tout compris. Tu nous présente une photo qui t'attire pour ses couleurs et tu la mets en noir et blanc ?
14/05/2013 à 23:21
ptiloulou a écrit :
[quote="Ijika"]
Ce qui m'a fait déclencher c'est cette même couleur rouge qui ornait devanture et "voiture pour deux" mais, comme j'aime le noir et blanc…
J'ai pas tout compris. Tu nous présente une photo qui t'attire pour ses couleurs et tu la mets en noir et blanc ?
Moi çà ne me surprend pas car quand on est fan de noir et blanc comme Ijika ou moi même, nos yeux sont attirés par unbe scène quelle qu'elle soit (et donc forcément en couleurs) et avant même de déclencher on voit déja la photo en noir et blanc et on sait que c'est comme çà qu'elle sera au final. En tous cas c'est comme çà que je fonctionne. Je me souviens avoir mis en ligne des clichés de graphs urbains hauts en couleurs en noir et blanc et ceux ci ne déméritaient pas. Je comprend donc sans problème la démarche de Ijika que je salue au passage pour la qualité de ces clichés.
[/quote]
25/05/2013 à 22:13
Justement !
Parce que le noir et blanc laisse libre de chercher les couleurs et parce que c'est Ijika sans doute…
Trouvé dans une note de "concevoir son livre de photographie" de Gildas Lepetit-Castel
Guillaume Geneste fondateur du laboratoire "La chambre noire" dit :
" Il n'y a pas de clivage entre ceux qui tirent en argentique et ceux qui le font en numérique, la vraie frontière est entre le noir et blanc et la couleur "
Un peu comme entre livre et film, le livre laisse au lecteur tout son pouvoir d'imagination et sa capacité d'interprétation la où le film s'appuie sur des émotions pour guider la réflexion du spectateur sur une voie choisie par le réalisateur.