16/08/2014 à 09:17
silver_dot
Le temps étant à la pluie de puis quelques jours, c'était l'occasion de faire un tour au musée de l'automobile de Mulhouse. Belle collection d'automobiles illustrant leur évolution, des vieux tacots à des modèles moins anciens que nous avons pu connaître et voir rouler.
Prendre des photos des voitures exposées en statique n'est pas aussi aisé qu'on pourrait le croire, leur disposition, la présence d'autres modèles à proximité immédiate, les conditions de lumière variant entre une semi-pénombre dans certaines salles, et des conditions plus favorables, et surtout les possibilités de choisir la distance ou l'angle de prise de vue avec lesquelles il faut composer.
J'ai misé sur mon Distagon 28mm 2, 8 pour tout faire, satisfaisant bien mes besoins pour l'occasion : courtes distances de prise de vue, au ras de la barrière (sorte de ring entourant les zones d'exposition, parfois très proches de certaines voitures, constituant alors un élément parasite parmi d'autres), et l'angle couvert. J'ai surtout été attiré par des automobiles de la fin des années 20 et des années 30, l'âge d'or des carrossiers, celles qui m'intéressaient particulièrement, se trouvant dans l'intimité des salles et zones les moins éclairées, ont été photographiées à 5000 isos, mon boîtier produisant à cette haute sensibilité des images directement exploitables, peu bruitées, que j'ai, pour la
Prendre des photos des voitures exposées en statique n'est pas aussi aisé qu'on pourrait le croire, leur disposition, la présence d'autres modèles à proximité immédiate, les conditions de lumière variant entre une semi-pénombre dans certaines salles, et des conditions plus favorables, et surtout les possibilités de choisir la distance ou l'angle de prise de vue avec lesquelles il faut composer.
J'ai misé sur mon Distagon 28mm 2, 8 pour tout faire, satisfaisant bien mes besoins pour l'occasion : courtes distances de prise de vue, au ras de la barrière (sorte de ring entourant les zones d'exposition, parfois très proches de certaines voitures, constituant alors un élément parasite parmi d'autres), et l'angle couvert. J'ai surtout été attiré par des automobiles de la fin des années 20 et des années 30, l'âge d'or des carrossiers, celles qui m'intéressaient particulièrement, se trouvant dans l'intimité des salles et zones les moins éclairées, ont été photographiées à 5000 isos, mon boîtier produisant à cette haute sensibilité des images directement exploitables, peu bruitées, que j'ai, pour la
