12/01/2012 à 12:49
Novo
Bonjour à tous,
C'est parfois au décours des chemins les plus innatendus que surgissent de petites perles méconnues… à quelques pas de mon ancien lieu de travail se trouvaient les vestiges d'un ancien fort de la guerre de 1870… Quelques pas dans les feuilles mortes, le son de branches qui craquent sous les pas… pas d'autres bruit que la forêt qui a envahit ce lieu désormais paisible.
Les ouvrages des Hommes sont parfois si éphémères… 150 ans à fleur de peau… respirer, toucher la vieille pierre comme apprivoiser ce qui autrefois fut taillé pour la guerre… observer sa reddition et le pardon de la nature qui l'habite désormais.
Si le passé fut violent, notre époque comporte tout autant de peines et d'aggression… c'est un peu renier le passé que de lui porter outrage, un outrage somme toute futile, sorte d'aveu d'une impuissance face à l'engrenage du monde moderne… on repousse, ce qui nous effraye, on combat ce qu'on ne comprend pas. La force de ces lieux s'entend comme le courage nécessaire à passer outre les épreuves.
Passer dans l'obscurité et y affronter l'adversité pour entrevoir au bout du tunnel une lueur d'espoir et d'humanité…
et y découvrir enfouit bien profond sous terre une enclave que l'on croyait oubliée et oblitérée… boîte de Pandore entrouverte ou corne d'abondance d'idées qui n'ont pas encore germées ?
Quel plaisir ressourcant qu'une balade en face-à-face avec soi-même, la réalité et ses pensées qui voyagent.
Bien entendu tout avis constructif est le bienvenu ;) !
C'est parfois au décours des chemins les plus innatendus que surgissent de petites perles méconnues… à quelques pas de mon ancien lieu de travail se trouvaient les vestiges d'un ancien fort de la guerre de 1870… Quelques pas dans les feuilles mortes, le son de branches qui craquent sous les pas… pas d'autres bruit que la forêt qui a envahit ce lieu désormais paisible.
Les ouvrages des Hommes sont parfois si éphémères… 150 ans à fleur de peau… respirer, toucher la vieille pierre comme apprivoiser ce qui autrefois fut taillé pour la guerre… observer sa reddition et le pardon de la nature qui l'habite désormais.
Si le passé fut violent, notre époque comporte tout autant de peines et d'aggression… c'est un peu renier le passé que de lui porter outrage, un outrage somme toute futile, sorte d'aveu d'une impuissance face à l'engrenage du monde moderne… on repousse, ce qui nous effraye, on combat ce qu'on ne comprend pas. La force de ces lieux s'entend comme le courage nécessaire à passer outre les épreuves.
Passer dans l'obscurité et y affronter l'adversité pour entrevoir au bout du tunnel une lueur d'espoir et d'humanité…
et y découvrir enfouit bien profond sous terre une enclave que l'on croyait oubliée et oblitérée… boîte de Pandore entrouverte ou corne d'abondance d'idées qui n'ont pas encore germées ?
Quel plaisir ressourcant qu'une balade en face-à-face avec soi-même, la réalité et ses pensées qui voyagent.
Bien entendu tout avis constructif est le bienvenu ;) !