24/04/2015 à 07:48
Lorenzo
Bonjour à tous !
Si un jour, tardivement, il vous vient à l'idée
De flâner dans les bois de nos vertes contrées
Ouvrez grand les yeux et tendez bien l'oreille
Vous pourriez rencontrer les esprits éternels
Les naïades des rivières aux eaux miroitantes
Chantent les louanges des sources cristallines
Se mèlant aux fées aux voix envoutantes
Et se lancent avec grâce dans des rondes divines
Elles égaient le sous-bois de leurs rires enfantins
Et défroissent leurs ailes aux reflets scintillants
Elles murmurent des secrets au vieux chêne serain
Se pourchassent entre-elles et devisent gaiement
Elles foulent la terre de leurs pieds minuscules
Font apparaître sous leurs pas de jolies fleurs dorées
Et quand vient déjà la fin du crépuscule
Vont s'abreuver aux perles de rosée
En écoutant mieux leur ôde à la nature
Vous serez frappé d'une immense sagesse
Vous verrez autrement ces espaces de verdure
Qui malheureusement, peu à peu disparaissent
Vous rentrerez chez vous l'esprit embrumé
A peine conscient, certain d'avoir rêvé
Mais au coin du feu, aux enfant vous raconterez
Les histoires merveilleuses d'une forêt enchantée
Si un jour, tardivement, il vous vient à l'idée
De flâner dans les bois de nos vertes contrées
Ouvrez grand les yeux et tendez bien l'oreille
Vous pourriez rencontrer les esprits éternels
Les naïades des rivières aux eaux miroitantes
Chantent les louanges des sources cristallines
Se mèlant aux fées aux voix envoutantes
Et se lancent avec grâce dans des rondes divines
Elles égaient le sous-bois de leurs rires enfantins
Et défroissent leurs ailes aux reflets scintillants
Elles murmurent des secrets au vieux chêne serain
Se pourchassent entre-elles et devisent gaiement
Elles foulent la terre de leurs pieds minuscules
Font apparaître sous leurs pas de jolies fleurs dorées
Et quand vient déjà la fin du crépuscule
Vont s'abreuver aux perles de rosée
En écoutant mieux leur ôde à la nature
Vous serez frappé d'une immense sagesse
Vous verrez autrement ces espaces de verdure
Qui malheureusement, peu à peu disparaissent
Vous rentrerez chez vous l'esprit embrumé
A peine conscient, certain d'avoir rêvé
Mais au coin du feu, aux enfant vous raconterez
Les histoires merveilleuses d'une forêt enchantée