02/07/2013 à 18:49
Catherine
Knock : il y a longtemps que vous souffrez d'insomnie ?
La Dame : Très très longtemps
Knock Vous en aviez parlé au docteur Parpalaid ?
La Dame Oui plusieurs fois
K Que vous a-t-il dit ?
La Dame : De lire chaque soir trois pages du Code civil. C'était une plaisanterie. Le docteur n'a jamais pris la chose au sérieux
K Peut-être a-t-il eu tort. Car il y a des cas d'insomnie dont la signification est d'une exceptionnelle gravité.
La dame : Vraiment ?
K : L'insomnie peut -être due à un trouble essentiel de la circulation intracérébrale, particulièrement à une altération des vaisseaux dite en tuyau de pipe. Vous avez peut-être, madame, les artères du cerveau en tuyau de pipe.
la dame Ciel ! En tuyau de pipe ! (…)Ce doit être affreux expliquez moi cela docteur…
K : Représentez-vous un crabe ou un poulpe ou une gigantesque araignée en train de vous grignoter, de vous suçoter et de vous déchiqueter doucement la cervelle.
La dame : Oh, ( elle s'effrondre dans un fauteuil). il y a de quoi s'évanouir d'horreur. Voilà certainement ce que je dois avoir. Je le sens bien. (…)Ne m'abandonnez pas. Je me sens glisser au dernier degré de l'épouvante…
La Dame : Très très longtemps
Knock Vous en aviez parlé au docteur Parpalaid ?
La Dame Oui plusieurs fois
K Que vous a-t-il dit ?
La Dame : De lire chaque soir trois pages du Code civil. C'était une plaisanterie. Le docteur n'a jamais pris la chose au sérieux
K Peut-être a-t-il eu tort. Car il y a des cas d'insomnie dont la signification est d'une exceptionnelle gravité.
La dame : Vraiment ?
K : L'insomnie peut -être due à un trouble essentiel de la circulation intracérébrale, particulièrement à une altération des vaisseaux dite en tuyau de pipe. Vous avez peut-être, madame, les artères du cerveau en tuyau de pipe.
la dame Ciel ! En tuyau de pipe ! (…)Ce doit être affreux expliquez moi cela docteur…
K : Représentez-vous un crabe ou un poulpe ou une gigantesque araignée en train de vous grignoter, de vous suçoter et de vous déchiqueter doucement la cervelle.
La dame : Oh, ( elle s'effrondre dans un fauteuil). il y a de quoi s'évanouir d'horreur. Voilà certainement ce que je dois avoir. Je le sens bien. (…)Ne m'abandonnez pas. Je me sens glisser au dernier degré de l'épouvante…