13/11/2014 à 18:53
Obama888
Comment ne pas penser à la lecture des Malheurs de Sophie, notamment au passage où elle découvre son joli cadeau et avant de lui faire fondre les yeux au soleil, et abîmer la cire de sa poupée :
"La bonne, au lieu de tirer et d’arracher, prit ses ciseaux, coupa les cordons, enleva les papiers, et Sophie put prendre la plus jolie poupée qu’elle eût jamais vue. Les joues étaient roses avec de petites fossettes ; les yeux bleus et brillants ; le cou, la poitrine, les bras en cire, charmants et potelés. La toilette était très simple : une robe de percale festonnée, une ceinture bleue, des bas de coton et des brodequins noirs en peau vernie".
Cette poupée était en vente dans une cagette au milieu du bric à brac d'une vente de vieux objets et livres à Nantes et les souvenirs sont remontés…
Côté cadrage, j'ai un peu bafouillé en lui supprimant le bas du corps qui était pourtant intact mais sous le coup de l'émotion j'ai voulu saisir son beau visage et ses belles anglaises !
"La bonne, au lieu de tirer et d’arracher, prit ses ciseaux, coupa les cordons, enleva les papiers, et Sophie put prendre la plus jolie poupée qu’elle eût jamais vue. Les joues étaient roses avec de petites fossettes ; les yeux bleus et brillants ; le cou, la poitrine, les bras en cire, charmants et potelés. La toilette était très simple : une robe de percale festonnée, une ceinture bleue, des bas de coton et des brodequins noirs en peau vernie".
Cette poupée était en vente dans une cagette au milieu du bric à brac d'une vente de vieux objets et livres à Nantes et les souvenirs sont remontés…
Côté cadrage, j'ai un peu bafouillé en lui supprimant le bas du corps qui était pourtant intact mais sous le coup de l'émotion j'ai voulu saisir son beau visage et ses belles anglaises !