21/02/2019 à 12:11
Napoli
Madame Madeleine Vionnet, grande couturière du XX ème siècle, affirmait les choses suivantes :
"(…) J'ai prouvé qu'un tissu qui tombait librement sur un corps sans cuirasse, était le spectacle harmonieux par excellence. J'ai cherché à donner au tissu un équilibre tel que le mouvement ne déplace pas ses lignes, mais les magnifie encore (…) Magnifier la Femme et composer avec chacun de ses vêtements une sorte de poème achevé".
Comme Ronsard presque cinq siècles plus tôt, mais sans son talent, "J'ai décidé de consacrer ma vie aux muses" en immortalisant sur papier photo les fameux poèmes vivant et éphémères dont parlait Madame Vionnet et qui inspirent l'amour, la tendresse, la passion. Une invitation à l'évasion, au rêve et au désir.
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"(…) J'ai prouvé qu'un tissu qui tombait librement sur un corps sans cuirasse, était le spectacle harmonieux par excellence. J'ai cherché à donner au tissu un équilibre tel que le mouvement ne déplace pas ses lignes, mais les magnifie encore (…) Magnifier la Femme et composer avec chacun de ses vêtements une sorte de poème achevé".
Comme Ronsard presque cinq siècles plus tôt, mais sans son talent, "J'ai décidé de consacrer ma vie aux muses" en immortalisant sur papier photo les fameux poèmes vivant et éphémères dont parlait Madame Vionnet et qui inspirent l'amour, la tendresse, la passion. Une invitation à l'évasion, au rêve et au désir.
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