14/07/2014 à 15:30
Elhan
Tout est dans le titre…
J'ai commencé la photo en 1957 avec un Kodak à soufflet (percé, le soufflet, évidemment !) trouvé en montagne. C'était l'époque des photos de famille. Des portraits, des paysages, que nenni ! On va pas gâcher de la pellicule pour si peu. Jeunes digitalistes, vous ne savez pas ce que vous avez raté…
Les années passant, ça a été l'invasion de la salle de bains, les mains dans le cambouis… pardon, dans le ferricyanure, les aérosols au Cibachrome… Et puis, un jour, j'ai tout arrêté. Comme nombre d'amateurs, j'étais déçue par les nouveaux produits livrés par les industriels, les papiers plastifiés, le manque de contraste, l'absence de grain. Où étaient passés le velouté, les noirs profonds, bref, le bonheur de faire de l'artisanal, donc de l'art ;( ? A croire que les fabricants -et moi-même-, nous n'attendions qu'une chose : l'arrivée du numérique accessible aux amateurs.
Canon s'est fendu de son EOS10D en février 2003… J'ai toujours le mien. Modifié pour l'infra-rouge qu'en définitive je pratique relativement peu… sauf quand le grand soleil frappe mes montagnes. Aujourd'hui, après un épisode "aquarelle" de quelques mois, je suis revenue à mes anciennes amours : la photo de paysage. Avec une préférence marquée pour printemps et automne. Les brouillards, le froid, le givre, les chemins bordés d'amandiers en fleurs, les collines où le vent chasse les feuilles mortes. Incidemment, je pratique aussi le portrait. A condition que mes personnages soient très typés. Et récemment, j'ai découvert le bonheur des photos de nuit.
M'enfin, brèfle, comme dirait une star de la BD, vous jugerez sur pièce.
J'ai commencé la photo en 1957 avec un Kodak à soufflet (percé, le soufflet, évidemment !) trouvé en montagne. C'était l'époque des photos de famille. Des portraits, des paysages, que nenni ! On va pas gâcher de la pellicule pour si peu. Jeunes digitalistes, vous ne savez pas ce que vous avez raté…
Les années passant, ça a été l'invasion de la salle de bains, les mains dans le cambouis… pardon, dans le ferricyanure, les aérosols au Cibachrome… Et puis, un jour, j'ai tout arrêté. Comme nombre d'amateurs, j'étais déçue par les nouveaux produits livrés par les industriels, les papiers plastifiés, le manque de contraste, l'absence de grain. Où étaient passés le velouté, les noirs profonds, bref, le bonheur de faire de l'artisanal, donc de l'art ;( ? A croire que les fabricants -et moi-même-, nous n'attendions qu'une chose : l'arrivée du numérique accessible aux amateurs.
Canon s'est fendu de son EOS10D en février 2003… J'ai toujours le mien. Modifié pour l'infra-rouge qu'en définitive je pratique relativement peu… sauf quand le grand soleil frappe mes montagnes. Aujourd'hui, après un épisode "aquarelle" de quelques mois, je suis revenue à mes anciennes amours : la photo de paysage. Avec une préférence marquée pour printemps et automne. Les brouillards, le froid, le givre, les chemins bordés d'amandiers en fleurs, les collines où le vent chasse les feuilles mortes. Incidemment, je pratique aussi le portrait. A condition que mes personnages soient très typés. Et récemment, j'ai découvert le bonheur des photos de nuit.
M'enfin, brèfle, comme dirait une star de la BD, vous jugerez sur pièce.