21/07/2015 à 14:32
silver_dot
A lire tout et n’importe quoi colporté sur le net, on a tendance à prendre pour argent comptant des rumeurs sui souvent ressassées, forgent des idées reçues auxquelles certains finissent par croire dur comme fer.
En voici un exemple flagrant concernant le chargement de ses fichiers depuis une carte CF (Compact Flash) dans un ordinateur.
Deux manières de procéder :
- laisser la carte mémoire à l’intérieur du boîtier, et transférer les fichier via le câble USB.
- retirer la carte mémoire, et procéder au transfert via un lecteur de cartes-mémoire externe ou intégré à l’ordinateur (si cette option a été ajoutée par l’usager, car elle n’est généralement pas présente sur une configuration d’origine).
Une carte flash se présente sous la forme d’un boîtier en matière plastique plat de 4mm d’épaisseur, et 42x36mm comportant un connecteur femelle à 50 contacts réparties en deux rangées de contacts et autant de trous sur l’une de ses faces. Les boîtier reflex utilisant ce type de carte mémoire sont munis d’un connecteur mâle avec autant de broches établissant la connexion électrique avec la carte CF insérée. Le lecteur de carte flash (ce connecteur) interne du boîtier, afin d’éviter une inversion lors de l’insertion de la carte mémoire est doté de chaque côte, d’un détrompeur venant coulisser dans une rainure présente sur la tranche de la carte CF.
La cinquantaine de fines broches de laiton doré du connecteur recevant la carte mémoire ne présentent pas de fragilité si l’insertion de la carte mémoire est introduire en douceur et dans le bon sens, sans forcer. J’ai eu l’occasion d’en retirer et remettre en place quotidiennement des dizaines de fois pendant une dizaine d’années sans jamais rencontrer quelque problème que ce soit sans causer quelque dommage que ce soit (torsion ou casse). Un lecteur de carte flash constitue un éliment connectique, à condition d’en user avec précaution sans forcer, l’étiquette de la carte visible de l’extérieur de nôtre boîtier photo, ça ne s’endommage pas tout seul, et ne constitue pas un défaut de conception.
En dépit de cela, force est de constater que certains usagers ont tendance à mal positionner la carte mémoire (sur sa largeur au lieu de la longueur, échappant ainsi aux détrompeurs du lecteur, ce qui n’empêche alors pas de l’enfoncer en forçant et endommager certaines broches dont certaines sont légèrement plus longues au milieu et aux extrémités du connecteur). le résultat, au mieux, c’est une ou deux paires de broches pliées, écrasées, voire cassées, ce qui est réparable, il suffit de les remplacer pour rendre le connecteur à nouveau opérationnel, l’intervention ne nécessitant pas l’échange de ce dernier, au pire, un nombre plus important de broches enfoncées, tordues ou brisées, voire avec pour conséquence l’arrachage des fines pistes de cuivre aux quelles elles sont soudés, il faut alors procéder à l’échange de la carte-mère devenue en conséquence inutilisable. Dans ce cas, outre le coût de la main d’oeuvre déjà élevée, il faut ajouter le prix de la carte-mère, l’un des éléments le plus coûteux d’un bôitier reflex numérique. Le montant du devis de réparation, en cas d’échange de la carte-mère fait souvent hésiter, voir renoncer à faire réparer son boîtier.
Aspect général d’une carte CF :
Carte CF correctement insérée, étiquette bien visible par l’utilisateur :
Dégâts occasionnés par une mauvaise insertion en force de la carte CF :
Il s’agit du même lecteur de CF, avant démontage du boîtier, et après dépose du blindage du lecteur de CF et de la carte-mère.
Au vu de ces informations objectives, et du choc des images, on serait en clin à imaginer que l’insertion d’une carte CF est quelque chose de risqué. C’est une idée reçue, particulièrement répandue dans tous les forums photo.
Il n’est rien d’une action, en quelque domaine que ce soit, ne présentant aucun risque, si exécutée précipitamment, sans un minimum d’observation, et d’attention.
L’insertion d’une carte CF est d’une simplicité biblique, qu’on peut même réaliser dans la pénombre, en visibilité réduite, voire sans, en faisant appel à deux de nos sens. Soit la vision, en s’assurant que l’étiquette de la carte CF est parfaitement visible, face à l’utilisateur du boîtier. Soit, sans visibilité, en prenant la carte CF entre le pouce et l’index, le rebord saillant (destiné à extraire une carte bloquée) sur l’index et en la glissant doucement dans le lecteur de carte de manière à ce que les rainures de cette dernière viennent se placer sur les détromper du lecteur de carte, il ne reste alors plus qu’à appuyer doucement, elle doit s’insérer sans résistance notable, sinon une légère en fin de course.
Ces précautions simples, basées sur le bon sens élémentaires, représentent, outre le désagrément d’u boîtier hors d’usage et une période d’immobilisation au SAV, une économie de plus de deux centaines d’euros, ce qui n’est pas rien. Autant alors prendre quelques secondes d’attention à chaque fois que nous vans besoin d’extraire puis réinsérer notre carte mémoire dans notre boîtier, ça ne coûte rien, évitant une dépense dont on se passerait volontiers.
En voici un exemple flagrant concernant le chargement de ses fichiers depuis une carte CF (Compact Flash) dans un ordinateur.
Deux manières de procéder :
- laisser la carte mémoire à l’intérieur du boîtier, et transférer les fichier via le câble USB.
- retirer la carte mémoire, et procéder au transfert via un lecteur de cartes-mémoire externe ou intégré à l’ordinateur (si cette option a été ajoutée par l’usager, car elle n’est généralement pas présente sur une configuration d’origine).
Une carte flash se présente sous la forme d’un boîtier en matière plastique plat de 4mm d’épaisseur, et 42x36mm comportant un connecteur femelle à 50 contacts réparties en deux rangées de contacts et autant de trous sur l’une de ses faces. Les boîtier reflex utilisant ce type de carte mémoire sont munis d’un connecteur mâle avec autant de broches établissant la connexion électrique avec la carte CF insérée. Le lecteur de carte flash (ce connecteur) interne du boîtier, afin d’éviter une inversion lors de l’insertion de la carte mémoire est doté de chaque côte, d’un détrompeur venant coulisser dans une rainure présente sur la tranche de la carte CF.
La cinquantaine de fines broches de laiton doré du connecteur recevant la carte mémoire ne présentent pas de fragilité si l’insertion de la carte mémoire est introduire en douceur et dans le bon sens, sans forcer. J’ai eu l’occasion d’en retirer et remettre en place quotidiennement des dizaines de fois pendant une dizaine d’années sans jamais rencontrer quelque problème que ce soit sans causer quelque dommage que ce soit (torsion ou casse). Un lecteur de carte flash constitue un éliment connectique, à condition d’en user avec précaution sans forcer, l’étiquette de la carte visible de l’extérieur de nôtre boîtier photo, ça ne s’endommage pas tout seul, et ne constitue pas un défaut de conception.
En dépit de cela, force est de constater que certains usagers ont tendance à mal positionner la carte mémoire (sur sa largeur au lieu de la longueur, échappant ainsi aux détrompeurs du lecteur, ce qui n’empêche alors pas de l’enfoncer en forçant et endommager certaines broches dont certaines sont légèrement plus longues au milieu et aux extrémités du connecteur). le résultat, au mieux, c’est une ou deux paires de broches pliées, écrasées, voire cassées, ce qui est réparable, il suffit de les remplacer pour rendre le connecteur à nouveau opérationnel, l’intervention ne nécessitant pas l’échange de ce dernier, au pire, un nombre plus important de broches enfoncées, tordues ou brisées, voire avec pour conséquence l’arrachage des fines pistes de cuivre aux quelles elles sont soudés, il faut alors procéder à l’échange de la carte-mère devenue en conséquence inutilisable. Dans ce cas, outre le coût de la main d’oeuvre déjà élevée, il faut ajouter le prix de la carte-mère, l’un des éléments le plus coûteux d’un bôitier reflex numérique. Le montant du devis de réparation, en cas d’échange de la carte-mère fait souvent hésiter, voir renoncer à faire réparer son boîtier.
Aspect général d’une carte CF :
Carte CF correctement insérée, étiquette bien visible par l’utilisateur :
Dégâts occasionnés par une mauvaise insertion en force de la carte CF :
Il s’agit du même lecteur de CF, avant démontage du boîtier, et après dépose du blindage du lecteur de CF et de la carte-mère.
Au vu de ces informations objectives, et du choc des images, on serait en clin à imaginer que l’insertion d’une carte CF est quelque chose de risqué. C’est une idée reçue, particulièrement répandue dans tous les forums photo.
Il n’est rien d’une action, en quelque domaine que ce soit, ne présentant aucun risque, si exécutée précipitamment, sans un minimum d’observation, et d’attention.
L’insertion d’une carte CF est d’une simplicité biblique, qu’on peut même réaliser dans la pénombre, en visibilité réduite, voire sans, en faisant appel à deux de nos sens. Soit la vision, en s’assurant que l’étiquette de la carte CF est parfaitement visible, face à l’utilisateur du boîtier. Soit, sans visibilité, en prenant la carte CF entre le pouce et l’index, le rebord saillant (destiné à extraire une carte bloquée) sur l’index et en la glissant doucement dans le lecteur de carte de manière à ce que les rainures de cette dernière viennent se placer sur les détromper du lecteur de carte, il ne reste alors plus qu’à appuyer doucement, elle doit s’insérer sans résistance notable, sinon une légère en fin de course.
Ces précautions simples, basées sur le bon sens élémentaires, représentent, outre le désagrément d’u boîtier hors d’usage et une période d’immobilisation au SAV, une économie de plus de deux centaines d’euros, ce qui n’est pas rien. Autant alors prendre quelques secondes d’attention à chaque fois que nous vans besoin d’extraire puis réinsérer notre carte mémoire dans notre boîtier, ça ne coûte rien, évitant une dépense dont on se passerait volontiers.